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N. 242. – Se rapporte à la p. 474 (chap. XI).
ЛОМ. I. chap. 8. Вся сия глава описана неправедно и коротко очень. Многие полки возвратились с военною честию, и военную казну почти всю вынесли в карманах, которую в Новегороде, пред Софийским собором, в ящики высыпали.
Chapitre XII.
Ressources aprčs la bataille de Narva; ce désastre entičrement réparé. Conquęte de pierre aprčs de Narva męme. Ses travaux dans son empire. La personne qui fut depuis impératrice, prise dans le sac d’une ville. Succčs de pierre; son triomphe ŕ moscou (années 1701 et 1702)
N. 243. – Le czar, ayant quitté son armée devant Narva, sur la fin de Novembre 1700, pour se concentrer avec le roi de Pologne, apprit en chemin la victoire des Suédois (474).
FAUTES, p. 196, l. 4. apprit en chemin. Il étoit encore à Novgorod lorsqu’il apprit cette nouvelle.
N. 244. – Ayant couru de Moscou en Courlande pour s’aboucher avec Auguste… (476).
REM. I. p. 199. en Courlande. à Birzen en Samogitie, sur la frontière de la Courlande. (Ceci manque dans les REM. II.).
FAUTES, p. 199. en Courlande. Birzen est en Samogithie sur la frontière de la Courlande.
Une page plus haut cependant, Voltaire prévient cette observation et il écrit: «il va trouver le roi Auguste à Birzen, sur les frontières de Courlande et de Lithuanie» (p. 475).
N. 245. – Aux confins de la Livonie et de l’Estonie, et à l’occident de la province de Novogorod, est le grand lac Peipus, qui reçoit du midi de la Livonie la rivière Vélika, et duquel sort, au septentrion, la rivière de Naiova qui baigne les murs de cette ville de Narva, près de laquelle les Suédois avaient remporté leur célèbre victoire (476).
REM. II. p. 201, l. 4. du midi de la Livonie. La rivière nommée Vélika traverse la province de Plescovie, et tombe dans le lac Peipus (REM. I.: idem. MÜLLER: même texte).
FAUTES, p. 201, l. 5: Naiova. Lisez: «Narova».
N. 246. – Ce lac [Peipus]… il était nécessaire d’y entretenir une flotte pour empêcher les vaisseaux suédois d’insulter la province de Novogorod, pour être à portée d’entrer sur les côtes, mais surtout pour former des matelots (476).
REM. II. p. 201, l. 13. C’est plustôt la province de Plescovie, qui touche à ce lac, que la province de Novgorod. (REM. I.: idem. MÜLLER: idem.)
REM. II. p. 201, l. 15. Pierre n’y forma point de matelots. (REM. I.: même texte. MÜLLER: idem.)
N. 247. – Pierre, pendant toute l’année 1701, fit construire sur le lac [Peipus] cent demi-galères qui portaient environ cinquante hommes chacune (476–477).
REM. II. p. 201, l. 16. cent demi-galères. C’étoient de simples bateaux ou de petites barques. (REM. I.: même texte. MÜLLER: idem.)
Observation analogue, voir plus loin N. 252.
Objection de Voltaire dans l’introduction au 2me vol. de son «Histoire»: «Que les barques construites par le czar Pierre I, ayant été appellées ou non demi-galères… cela est je crois fort indifférent».
N. 248. – D’autres canaux devaient faire communiquer par des lacs le Tanaïs avec la Duna, dont la mer Baltique reçoit les eaux à Riga (édition 1759; édition Garnier, à la p. 477: la Duina).
REM. II. p. 202, l. 14. Tanaïs et la Duna. On n’a jamais pensé à une telle communication; elle auroit été impraticable, vu l’éloignement de ces deux rivières. (REM. I.: même texte, mais avec une phrase explicative en plus qui fut exclue dans la suite: «C’est la Dvina et le Borysthène». MÜLLER: même texte que dans les REM. II.).
N. 249. – Le czar apprend qu’une flotte suédoise est destinée pour aller ruiner Archangel; il y marche… il met tout en état de défence, prévient la descente, trace lui-même le plan d’une citadelle nommée la nouvelle Duina, pose la première pierre, retourne à Moscou, et de là vers le théâtre de la guerre (478).
REM. II. p. 205, l. 19. Duina. Lisés: «nouvelle Duinka» (REM. I.: Dwinka).
REM. II. p. 205, l. 20. retourne à Moscou. Pierre I n’y retourna pas. Son journal dit qu’il se rendit avec ses gardes d’Arkangel à Ladoga pour entreprendre le siège de Nötebourg (REM. I.: Nottebourg. MÜLLER: idem).
N. 250. – Le maréchal Sheremetof [1759: Sheremeto] va à la rencontre des Suédois commandés par Slipenbach; il lui livre bataille auprès de la petite rivière d’Embac, et la gagne; il prend seize drapeaux et vingt canons. Nordberg met ce combat au 1er Décembre 1701, et le journal de Pierre le Grand le place au 19 Juillet 1702 (478).
FAUTES, p. 206, l. 5. ce c0mbat. Il s’est donné le 30 Décembre 1701 v. st. Peut-être que dans l’extrait du journal de Pierre le Grand il s’est glissé là-dessus quelque faute du traducteur ou du copiste.
N. 251. – Il [Sheremetof] avance, il met tout à contribution; il prend la petite ville de Marienbourg, sur les confins de la Livonie et de l’Ingrie. Il y a dans le Nord beaucoup de villes de ce nom; mais celle-ci, quoiqu’elle n’existe plus, est cependant plus célèbre que toutes les autres, par l’aventure de l’impératrice Catherine (478).
FAUTES, p. 206, l. 10. Marienbourg est situé sur les confins de la Livonie du côté de Plescou. L’Ingrie est très éloignée.
BÜSCH. quoiqu’elle n’existe plus. Die Stadt ist noch vorhanden, aber das ehemalige feste Schloss nicht mehr.
N. 252. – La flotte des demi-galères russes sur le lac Ladoga contraignit celle des Suédois de se retirer à Vibourg, à une extrémité de ce grand lac (479).
FAUTES, p. 207, l. 15. Les Russes avoient dans ce temps-là aussi peu sur le lac de Ladoga que sur celui de Peipus de demi-galères. Ce n’étoient que de petites barques, dont chaqu’une portoit depuis 30 jusqu’à 50 hommes.
FAUTES, p. 207, l. 17. Vibourg est situé sur le golfe de Finlande. Les bornes de la Carelie ou de la province de Vibourg s’étendent jusqu’aux bords de la Neva. La forteresse