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FAUTES, p. 150, l. 12. le comte d’Alberg. Il s’appelloit comte de Dalberg.
N. 2i6. – De la Livonie on alla dans la Prusse brandebourgeoise (456).
ЛОМ. I. chap. 6, p. 85. Г-н Вольтер здесь пропустил описание опасности Петра Великого в переезде через Двину льдом.
REM. II. p. 150, l. 19. on alla dans la Prusse Brandebourgeoise. On pourroit ajouter: «en passant par Mietau, où le duc de Curlande fit à l’ambassade une magnifique réception, et la défraya en tout». (MÜLLER: idem. Ce texte manque dans les REM. I.).
N. 216.* – De la Livonie on alla dans la Prusse brandebourgeoise, dont une partie a été habitée par les anciens Vandales: la Prusse polonaise avait été comprise dans la Sarmatie d’Europe (456).
BÜSCH. anciens Vandales. Der Verfasser hätte sagen sollen durch die Wenden oder Venedos, als welche vor Alters in Preussen und derselben Gegend gewohnt haben. Die Wandalen haben ihren Sitz damais zwischen der Weichsel, Oder und Elbe gehabt.
BÜSCH. comprise dans la Sarmatie d’Europe. Warum nicht auch das brandenburgische Preussen?
N. 217. – L’électeur… se piqua de recevoir l’ambassade dans sa ville de Koenigsberg avec un faste royal… Le czar était vêtu à l’allemande. Un prince de Géorgie qui était avec lui, vêtu à la mode des Persans, étalait une autre sorte de magnificence: c’est le même qui fut pris à la journée de Narva, et qui est mort en Suède (456). (Dans l’édition 1759 nous lisons également: prince de Géorgie.)
ЛОМ. I. chap. 6, p. 85. Prince d’Arménie. Я от роду не слыхивал, чтоб где был принц армянский. Разве грузинский.
Il s’agit du tsarévitch Alexandre d’Imeréthie. Dans son «Histoire de Charles XII» Voltaire en parle en ces termes (pp. 176–177): «Parmi les prisonniers faits à la journée de Narva, on en vit un qui était un grand exemple des révolutions de la fortune: il était fils aîné et héritier du roi de Géorgie; on le nommait le czarafis Artfchelou; ce titre de czarafis signifie prince, ou fils du czar… Son père Mittelleski, czar et maître de la plus belle partie des pays qui sont entre les montagnes d’Ararat et les extrémités orientales de la mer Noire, avait été chassé de son royaume par ses propres sujets en 1688, et avait mieux aimé se jeter entre les bras de l’empereur de Moscovie que recourir à celui des Turcs».
N. 218. – Ses troupes remportaient une victoire contre les Tartares, assez près d’Azof, et même quelques mois après elles prirent la ville d’Or ou Orkapi, que nous nommons Précop (459).
REM. II. p. 154, l. 19. Or Kapi. Ils ne prirent jamais cette ville, quoique cette nouvelle fut répandue dans ce tems-là par les gazettiers et journalistes. Tout ce qui est vrai, c’est qu’il y eut quelques combats avec les Tatares de la Crimée et les Turcs dans le voisinage d’Asoph à l’avantage des Russes. Or, ou Orkapi, est la forteresse qui défend l’entrée dans la Crimée (REM. I. et MÜLLER: même texte; Tartares).
N. 219. – Il [Pierre le Grand] partit pour l’Angleterre, toujours à la suite de sa propre ambassade (460).
REM. II. p. 158, l. 10. à la suite de sa propre ambassade. Il partit seul pour l’Angleterre. Son second ambassadeur Golovin le suivoit après. Voyés les remarques (REM. I. et MÜLLER: idem).
N. 220. – Fergusson, Ecossais, bon géomètre, se mit à son service (460).
FAUTES, p. 159, l. 17. Fergusson. Il établit à Moscou une école d’arithmétique, dont le but principal étoit d’instruire les jeunes gens, qu’on destinoit pour la marine. Cette même école a été erigée, en 1715, en académie de marine.
N. 221. – Il [Pierre le Grand] amenait avec lui [de l’Angleterre en Hollande] trois capitaines de vaisseau de guerre, vingt-cinq patrons de vaisseau, nommés aussi capitaines, quarante lieutenants, trente pilotes, trente chirurgiens, deux cent cinquante canonniers, et plus de trois cents artisans (461).
FAUTES, p. 160, l. 4. Il y a ici une erreur de calcul.
N. 222. – Cette fête, qui se nomme wurtchafft… (462).
FAUTES, p. 161, l. 17. wurtchafft. On écrit: «Wirtschaft».
N. 223. – le comte de Vorkla (462).
FAUTES, p. 164, l. 20. Vorkla. Lisés: «comte de Volkra».
Chapitre X.
Conjuration punie. Milice des strélitz abolie.
Changements dans les usages, dans les mœurs, dans l’état et dans l’église
n. 224. – Leurs corps [des strélitz] restèrent deux jours exposés sur les grands chemins, et surtout autour du monastère où résidaient les princesses Sophie et Eudoxe (464).
REM. II. p. 166, à la fin. Les sœurs de Sophie n’étoient point enfermées avec elle. Elles vivoient à la Cour comme auparavant (REM. I.: idem. MÜLLER: même texte).
N. 225. – Les évêques s’étaient arrogé le droit de glaive, celui de condamner à des peines afflictives et à la mort, droit contraire à l’esprit de la religion et au gouvernement (465).
REM. II. p. 173, l. 13. droit de glaive. Les patriarches n’ont jamais eu, ni même osé s’arroger les droits de condamner à des peines afflictives et à la mort. Si quelqu’un du clergé avoit commis un crime qui méritoit tel supplice, on le depouilloit de ses qualités spirituelles, et on le remettoit entre les mains du juge temporel pour subir les peines qu’il avoit mérité (REM. I.: même texte; quelques mots seulement sont remplacés, le fond de la pensée restant le même). (MÜLLER: idem.)
N. 226. – Le patriarche Adrien étant mort à la fin du siècle… (465).
REM. II. p. 173, l. 17. à la fin du siècle. Adrien mourut le 16 Novembre v. st. 1700 (REM. I.: idem. MÜLLER: idem).
N. 227. – L’ancien usage de l’Église russe est que les prêtres séculiers se marient au moins une fois; ils y sont même obligés, et autrefois, quand ils avaient perdu leur femme, ils cessaient d’être prêtres (466).
ЛОМ. I. chap. 6, p. 106. Вдовые попы перестают быть попами. Неправда.
FAUTES, p. 175, l. 18. au moins une fois. Ils ne se marient qu’une seule fois; quand ils ont perdu leur femme, ils n’osent plus se remarier. Cependant avec une dispence qu’on leur accorde ordinairement, ils ne cessent pas d’être