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"Ce jour, au soir, environ huit heures, messire Loiz… duc d'Orléans… en revenant de l'ostel de la Royne, qui est près de la porte Barbette, vers l'eglise des Blans Manteaus, accompaigné moult petitement selon son estat…. fu par VIII ou X hommes armez… tué et murtri" (Journal de Nicolas de Baye, greffier du Parlement de Paris, 1400–1417 / Publ. par A. Tuetey. P, 1885. T. 1. P. 206).
319
Enquete de prévôt de Paris sur l'assassinat de Louis, duc d'Orléans / Ed. par P. Raymond // BEC. 1865. T. 26. P. 215–249.
320
"...qui estoit le plus grant de ce royaume après le Roy et ses enfans" (Journal de Nicolas de Baye. P. 207).
321
Enquete de prévôt de Paris sur l'assassinat de Louis, duc d'Orléans. P. 243–244.
322
"Et adonc, le duc Jehan de Bourgongne… eut doubtance et crainte, et pour ce, tira il à part le roy Loys et le duc de Berry, son oncle, et en brief leur confessa et dist que par l'introduction du dyable il avoit fait faire cet homicide par Raoulet d'Actonville et ses complices" (Monstrelet E. de. La chronique en deux livres avec pièces justificatives, 1400–1440 / Ed. par L. Douеt-d'Arcq. P., 1890. T. 1. P. 162)
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См. о них прежде всего: Guenée В. Un meurtre, une société.
324
"Ce jour, a esté dit et puplié de pluseurs que le duc de Bourgoigne… disoit et maintenoit qu'il avoit fait occire le duc d'Orléans, son cousin germain, par Rolet d'Auquetonville et autres, et sur ce s'est au jour d'ui parti de Paris" (Journal de Nicolas de Baye. P. 208).
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Coville A. Jean Petit. La question du tyrannicide au commencement du XV siècle. Genève, 1974. P. 384–387.
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Guenée B. Un meurtre, une société. P. 185, 203–208.
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Так Жан Пти описал себя (или, скорее, был охарактеризован переписчиком) в заключительных строках «Оправдания»: "…la Justification du duc de Bourgougne, conte de flandres, d'arthois et de bourgougne sur le fait de la mort du duc d'orleans proposée publiquement par la bouche de maistre jehan [le petit] docteur en théologie et conseiller du dit duc de bourgogne en l'ostel de saint paul" (Jean Petit. Discours pour la justification de Jean sans Peur, duc de Bourgogne, sur le fait de la mort du duc d'Orléans // BNF. Ms. fr. 5733. Fol. 78). Уточнение le petit было добавлено в Ms. fr. 5733 к основному тексту позднее, вероятно, в XVI в.: оно сделано на полях, другой рукой и другими чернилами. Из пятнадцати рукописей с текстом «Оправдания», дошедших до наших дней, данный кодекс — наравне с Wien, Österreichische Nationalbibliothek. Ms. 2657 — считается лучшим. Они оба были изготовлены по заказу Жана Бесстрашного и, по всей видимости, предназначались для него лично или для членов его семьи: Coville A. Le véritable texte de la justification du duc de Bourgogne par Jean Petit (8 mars 1408) // BEC. 1911. T. 72. P. 57–91. Полный текст сочинения Жана Пти остается до сих пор неизданным, его неточное и неполное изложение содержится, в частности, в «Хронике» Ангеррана де Монстреле (Monstrelet Е. de. Op. cit. T. 1. P. 177–242) и в «Хронике» Пьера Кошона (Chronique normande de Pierre Cochon. P. 224–237).
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О подготовке этого заседания см. подробнее: Coville A. Le véritable texte de la justification du duc de Bourgogne. P. 61–63.
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Альфред Ковиль высказывал предположение, что третье «Оправдание» могло и не являться оригинальным произведением, но было идентично амьенскому варианту. Однако установить связь между этими двумя текстами не удается в связи с утратой одного из них: Ibid. Р. 58–61.
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См., в частности: Ibid. Р. 84–89; Guettée В. Un meurtre, une société. P. 190–199; Gorzolla P. Op. cit. S. 129–135, 375–381.
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"…qui tient gens d'armes sur le pais qui ne font aultre chose que mengier et exilier le poure peuple, pillier, rober, raenconner, occir, tuer gens et prendre femmes à force. Et avec ce met capitaines es chateaulx, forteresces, ponts, et passages du dit royaulme. Et fait mettre sur tailles et empruns intollerables feignant que c'est pour mener la guerre contre les anemis dudit royaulme. Et aprez quant ils sont levees cueillies et mises ou trésor du Roy les emble, prent et ravist par sa force et puissance" (Jean Petit. Op. cit. Fol. 55–55v).
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"…fait aleances aux anemis adversaires et malveullans des dis Roy et royaulme. En entencion de afflebier les dis Roy et royaulme apourier et se rendre plusfort et pluspuissant pour obtenir sa maulvaise et dampnee intencion. C'est assavoir de obtenir la couronne et seigneurie dudit Royaulme" (Ibid. Fol. 55v).
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"…il doibt estre pugny comme… traistre du Roy faulx et desloyal a son souverain seigneur" (Ibid. Fol. 51v).
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"Et suppose pour verite que c'est le gregneur pechie qui soit ou puist estre que crime de lese maieste royal. Et la cause si est. Car c'est la plus noble chose et la plus digne qui puist estre que maieste royal. Et pour ce on ne peut faire gregneur pechie ne gregneur crime que de iniurier maieste royal" (Ibid. Fol. 13).
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"Il et tout tel subiect et vassal ainsy faisant doibt estre puny comme tyrant faulx et desloyal aux dis Roy et Royaulme" (Ibid. Fol. 55v–56). "…et ainsy fu tirant et desloyal a son prince et souverain seigneur et a la chose publique du dit royaulme" (Ibid. Fol. 70v).